Dysfonctionnement du Parlement et nouvelle Constitution annoncée par le Président : Position de principe des organisations de défense des droits humains et de la société civile

Les organisations de défense des droits humains et de la société civile, signataires de la présente note, prennent acte du dysfonctionnement du Parlement, depuis le lundi 13 janvier 2020, suite au départ des députés de la 50ème législature et des sénateurs dont le mandat est arrivé à terme …

Menaces et intimidation du Président de la République: Des organisations de promotion et de défense des droits humains disent NON au retour à la dictature.

Les organisations de promotion et de défense des droits humains signataires de la présente note, sont vivement préoccupées par les récentes déclarations faites le 22 décembre 2019 par le Président Jovenel Moïse, selon lesquelles il affirme que, « n’ayant aucune intention de démissionner de la fonction présidentielle, il a décidé de mettre certaines personnes de côté.…

Le RNDDH condamne les agressions physiques subies par Mikensia Adrien à la prison civile du Cap-Haïtien et exige une enquête des autorités concernées

Le Réseau National de Défense des Droits Humains (RNDDH) a appris avec consternation que Mikensia ADRIEN, une marchande de fruits frais qui a l’habitude d’en vendre aux agents affectés à la Prison civile du Cap-Haïtien, a été bastonnée par le responsable de cette institution pénitentiaire, l’Inspecteur Wildophe PHILIPPE… PDF-CP – Agressions Mikensia Adrien – 19Sept2019-FR

Scandales et Opérations de corruption : ECC estime que Fritz William MICHEL n’est pas éligible au poste de premier ministre

Par arrêté présidentiel en date du 22 juillet 2019, Fritz William MICHEL est nommé Premier ministre, en remplacement de Jean Michel LAPIN. Ce dernier avait remis sa démission le même jour, s’étant rendu compte de son incapacité à passer l’étape de ratification au Parlement notamment parce qu’il faisait partie du gouvernement démissionnaire et qu’au sein…

Le RNDDH dénonce la banalisation des droits à la vie, à la sécurité de sa personne, et à l’intégrité physique et psychique des citoyens et citoyennes de La Saline

Depuis le massacre du 13 novembre 2018 orchestré et perpétré à La Saline par le pouvoir exécutif, les autorités policières ne sont jamais intervenues pour ramener l’ordre et la paix dans la communauté. Les survivants-tes ainsi que la population de La Saline ne bénéficient d’aucun accompagnement de l’Etat. Ils sont tout simplement livrés à eux-mêmes…